Catégories : Aux pieds des femmes Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 4 ans
L’homme (nous l’appellerons Norbert), assis à son bureau, est plongé dans les notes prises lors de la réunion qui s’est achevée une demi-heure auparavant.
Sitôt de retour’ dans son appartement, il s’est mis à l’aise, tombant pull et jean. En slip et tee-shirt, il sirote un whisky qu’il considère comme mérité. Brun, râblé avec cependant une légère tendance à l’embonpoint qu’il parvient encore à dissimuler, il paraît âgé d’une quarantaine d’années. La rondeur de son visage est atténuée par une barbe poivre et sel bien entretenue.
Alors qu’il allume une cigarette, la sonnette d’entrée retentit.
— M e r d e ! Encore un démarcheur !
Il n’attend aucune visite. Il n’utilise ce pied à terre seulement lorsque son travail exige qu’il reste sur place plusieurs jours. Il se lève sans hâte et va ouvrir, entrouvrir plutôt, la porte, dissimulant sa semi-nudité derrière le battant.
— Je ne te dérange pas, j’espère !
En face de lui Bérengère, la conseillère en communication, qui a dirigé’ la réunion. Une femme du bon côté de la quarantaine, imposante… plus grande et plus forte que lui. Pas loin du mètre 80 et sans doute plus près des 80 kg que des 50, elle est pourvue d’une poitrine à trois chiffres.
Plusieurs fois lors de ses nuits de solitude, il a déliré sur ce que laisse supposer son abondante chevelure brune. Il ne peut pas dire qu’elle soit jolie mais il se dégage de toute sa personne une sensualité animale. Même en robe de bure, elle resterait un hymne au plaisir, un appel au coït.
Elle lui a tapé’ dans l’œil dès la première seconde autant par son physique étonnant et sa manière de l’utiliser que par sa voix mélodieuse qui engendre une vraie émotion. Il l’a beaucoup regardée, matée même… Surtout cette dernière après-midi où le hasard l’a installé en face d’elle. Il pensait l’avoir observée avec discrétion. Il avait si peu osé que, même placé comme il l’était, il n’avait pu se rendre compte si elle portait des bas ou un de ces maudits collants. Sa présence sur le pas de sa porte, présence que rien ne justifie, lui fait se demander s’il l’a été si discret que ça et si c’était bien le hasard qui l’avait assis en face d’elle.
— Mais non, dit-il, l’instant de stupeur passée. Entre donc, mais je ne suis pas très présentable.
Elle entre, l’examine de la tête aux pieds insistant sans vergogne sur certaines parties stratégiques.
— Tu peux rester ainsi, lui dit-elle dans un grand sourire, ça ne me gêne pas… Bien au contraire, le spectacle est charmant.
S’il avait encore des doutes sur ses intentions, ces dernières paroles, le tutoiement soudain et le regard appuyé’ qu’elle porte à la protubérance qui, déforme son slip les dissipent complètement.
Il la guide jusqu’à la pièce que, pompeusement, il nomme salon et qui lui sert de bureau, de pièce de vie et à l’occasion de salle à manger. Il la fait asseoir sur son canapé, seul siège acceptable. Il lui propose un apéritif qu’elle accepte avec empressement. Quand elle est servie, il prend son verre de whisky et il s’assoit par terre à ses pieds, avec la ferme intention de savoir enfin si elle porte collant ou bas. En s’asseyant, elle a dans un geste naturel croisé ses jambes lui dissimulant l’essentiel. La jupe que cette position retrousse lui offre néanmoins une vue intéressante sur les genoux et sur l’entame des cuisses.
La situation le met mal à l’aise: il connaît, ou du moins, il pense connaître, la raison de son intrusion mais par simple courtoisie et pour ne pas passer pour un obsédé, il faut qu’il décolle son regard de ses cuisses, de ses grosses cuisses…
Pendant ce temps, elle lui explique qu’elle veut l’entretenir de certains sujets abordés pendant la dernière session. Il tente tant bien que mal de reprendre le fil de la conversation. Mais cela devient encore plus difficile, pour lui, quand, avec toujours autant de naturel, elle décroise les jambes. Cela lui permet de constater qu’elle porte bien des bas. Cette découverte déclenche une montée d’adrénaline qui, instantanément, provoque une distension encore plus visible de son slip.
Alors commence une discussion absurde où chacun se moque éperdument de ce que l’autre raconte. Il a un mal fou à détacher son regard de ce gouffre sombre d’autant plus que la perfide bouge, écarte, ferme tour à tour ses jambes le mettant au supplice. Très adroite, elle lui en laisse deviner chaque fois un peu plus sans que pour autant il ait le temps d’être sûr de ce qu’il a vu. Quant à elle, ses yeux se portent, à intervalles de plus en plus rapprochés, sur la bosse, de plus en plus importante, que dissimule, de moins en moins, le slip. Sadique, elle attend qu’il s’aperçoive de son manège pour détourner chastement les yeux dans un petit sourire entendu.
Son seul désir: poser ses mains sur ce que ses yeux dévorent. Mais il ne tente rien. Intuitivement, il sent qu’il ne faut pas qu’il mène le jeu: ce n’est pas ce qu’elle attend. Pourtant sa queue, à l’étroit dans sa prison de coton commence à s’impatienter.
Après un quart d’heure d’une discussion qui s’alanguit vu le peu d’intérêt que les deux participants lui portent, elle porte une première banderille, confirmant ainsi ses impressions.
— T’assieds-tu toujours ainsi par terre ? lui demande-t-elle d’un air ironique.
Il sait par des collègues qu’elle a eu une formation en psycho et adore le montrer. Lui-même n’étant point totalement ignare en la matière, il comprend aussitôt où elle veut en venir. Il décide d’entrer dans son jeu.
— Non. Cela dépend des gens avec qui je suis.
— Plus particulièrement avec des femmes? Surtout si elles sont en jupe…
Il ne relève pas l’allusion.
— Non, aussi avec des hommes. Le sexe des personnes avec qui je suis n’a rien à y voir.
— Tu sais ce que ce genre de comportement signifie? reprend-elle en se carrant plus confortablement sur le canapé.
Dans l’action, elle écarte, encore un peu plus les jambes. Il en a le souffle coupé: non seulement, elle est adepte des bas mais de plus, elle semble ignorer ce qu’est une culotte. Il se détourne rapidement mais pas assez vite pour qu’elle ne devine pas son trouble. Elle ne cherche pas son regard mais fixe le renflement qui maintenant soulève même l’élastique du slip laissant apparaître l’extrémité rougissante du gland.
Après quelques secondes de silence, elle enchaîne comme si de rien n’était:
— S’asseoir ainsi que tu le fais, c’est reconnaître aux autres une place plus élevée, c’est reconnaître leur autorité. Tu te places ainsi en position de faiblesse, de subordination.
— Tu sais, je n’y ai jamais vraiment réfléchi. Je ne suis pas très féru de psychologie, répond-il en se retenant pour ne pas sourire.
— C’est pourtant clair et je vais t’en donner la preuve sur-le-champ.
A nouveau, elle fixe d’un regard sans équivoque le slip hyper tendu.
— Je te fais de l’effet si j’en juge par l’état d’érection de ton pénis.
Il va pour parler mais elle ne lui en laisse pas le temps.
— Tu n’es pas idiot et tu as compris que si je suis passée, c’est que tu ne m’es pas indifférent. N’importe quel homme m’aurait déjà entrepris. Toi, tu n’as rien fait sinon jeter des regards par en dessous et bander à l’étroit. Tu n’as même pas osé regarder franchement. Et bien vois ! Ose te rincer l’œil !
Elle ouvre alors largement ses cuisses, aussi largement que lui permet sa jupe qui du même coup remonte très, très haut. Après une feinte hésitation, il regarde: de la toison brune très fournie, un vrai buisson, émergent deux grandes lèvres lippues. À certaines humidités facilement identifiables qui luisent sur cette luxuriance, il réalise qu’elle est aussi excitée que lui. Plus que son minou baveur, c’est la vision de ses larges cuisses gélatineuses, de leurs bourrelets révélés par le retrait de la jupe qui le… Il avance la main pour …mais elle referme brutalement les jambes.
— Le spectacle est terminé ! Tu as pu voir mais tu ne toucheras pas. En tout cas pas maintenant… et surtout pas sans ma permission ! As-tu quelque chose de prévu ce soir?
Elle parle d’une voix autoritaire qu’il ne lui connaissait pas.
— Oui, répondit-il en souriant. Il faut que je potasse et classe les notes que j’ai prises cet après-midi.
— Je parle sérieusement, rétorque-t-elle sans un sourire. Elle se lève.
— O.K. O.K. ! J’avais prévu de bouquiner triste et solitaire au fond de mon lit.
— Et bien ce sera pour une autre fois. Je passe chez moi pour prendre un bain et récupérer quelques accessoires et je te montrerai ce que je fais avec des hommes comme toi !
Naturellement, le tout exprimé avec un ton de commandement que n’aurait pas renié un adjudant de carrière. Il se dit, dans sa Ford intérieure, qu’il vaut mieux arrêter son humour à quatre balles. Ce n’est manifestement pas le genre de la maison. Ce sera bien la première fois qu’il s’enverra en l’air dans ce B l e d de la province de profonde alors il n’a pas l’intention de gâcher une soirée qui s’annonce sous les meilleurs auspices même si ce ne sont pas ceux de Baunes.
— Oui, madame ! Le "madame" est venu sur l’inspiration mais en voyant le sourire de satisfaction gourmande qui illumine le visage de la femme, il s’en félicite.
— Tu as vite compris ! J’aime les hommes très obéissants ! J’aime les humilier ! J’aime qu’ils me supplient.
Elle s’est levée et le domine de toute sa taille et de tout son poids. Un bref instant, il se sent infiniment petit, vulnérable. Se serait-il trompé ? Serait-elle une vraie maîtresse ?
— Tu vas te laver, que dis-je te récurer, te parfumer. Je t’interdis de te masturber après mon départ. Je reviendrai pour neuf heures et tu m’accueilleras entièrement nu, tête baissée et tu devras m’obéir en tout.
— Oui, madame ! Neuf heures, nu, tête baissée, psalmodie-t-il se retenant de rire.
— Nous allons voir si tu mérites que je vienne ce soir. Lève-toi. Déshabille-toi.
Il se lève et ôte slip et tee-shirt.
— Maintenant, accompagne-moi sur le palier.
Sans lui laisser le temps de réfléchir, de protester, elle ouvre la porte et sort. Il n’a d’autre ressource que d’obéir. Elle lui tend une main qu’il baise dévotement. D’un geste négligent, elle lui flatte la queue ramollie par la crainte d’être surpris. Par bonheur personne ne descend les escaliers. Bérengère s’attarde. Du moins ses mains. De la flatterie négligente, elles passent à des attouchements plus précis, en toute innocence, décalottent le gland, soupèsent les bourses dont la peau s’est rétractée sous la fraîcheur du couloir. Ou peut-être sous le désir qu’elle lui inspire.
Malgré le risque d’être surpris, Norbert sent son excitation renaître. Son pénis, sous les caresses habiles, se redresse lentement. Les ongles manucurés de l’opulente quadragénaire griffe délicieusement ses testicules. Il oublie où il se trouve s’abandonnant au plaisir qu’elle lui délivre. Les yeux de la femme plantés dans les siens lui intiment une complète passivité. L’occupation à laquelle elle s’adonne sur ses couilles nécessite les deux mains. Chacune enveloppant un testicule, elle frotte les boules l’une contre l’autre provoquant un échauffement à la limite de la douleur. Un bruit dans la cage d’escalier. Le temps qu’il réagisse, elle s’est déjà éclipsée. Seule son parfum rappelle sa présence.
Quelqu’un descend. Ce serait trop bête de se faire surprendre à poil sur son palier. Vite, Norbert regagne son appartement. Juste à temps, il entend des talons pressés claquer devant sa porte. Appuyé contre le chambranle, il reprend ses esprits en se caressant nonchalamment sa bite qui peu à peu retourne à une position de repos. Il se dit qu’il n’a jamais eu de relation S.M., que ce n’a jamais été pour lui un sujet de fantasme. Jamais, il n’a eu envie de jouer à l’esclave. Il est trop sentimental, il aime trop partager. Etrangement devenir pour une soirée l’esclave de Bérengère l’excite. Peut-être parce que quelque chose sonne faux dans les propos, le comportement autoritaire de celle-ci.
Début de soirée.
A neuf heures tapantes, elle carillonne à sa porte. Lui, nu, récuré, parfumé, soumis à souhait ouvre la porte à cette femme et à ses fantasmes, bien décidé à jouer le jeu tant que ça l’amusera. Elle entre souveraine, arrogante. Sans même le regarder, elle se plante au milieu du salon et déverse sur la petite table le contenu d’un sac assez volumineux. Pêle-mêle se retrouvent, sur la table, des objets qu’il connaît bien, god, menottes, foulard, préservatifs, et d’autres qu’il a du mal à. identifier.
— Ote-moi mon manteau et va le suspendre à un cintre, dit-elle d’une voix qui se veut autoritaire.
Il s’exécute pensant la trouver nue sous son manteau. Instant de stupéfaction intense, d’immobilité totale, d’érection immédiate. Elle n’est pas nue. Bien "pire": elle porte une guêpière noire qui contient difficilement son abondante poitrine sans pour autant parvenir à la cacher. Cette poitrine conséquente déborde de la guêpière partout où ça lui est possible. Des bourrelets de seins retombent de chaque côté des armatures.
Le plus époustouflant ce sont les aréoles: de ce diamètre, il n’en a jamais vu. Très sombres, larges comme le cul d’une bouteille, elles sont à l’échelle de la poitrine. Les tétons ne déparent pas le tableau: déjà tendus par l’excitation, ils sont énormes. Des vraies petites queues en érection. Il est pétrifié. Son pénis, au garde à vous, bat la mesure. Une larme pointe à l’entrée de son méat.
Voyant cela, elle se saisit de la cravache qui se trouve sur la table et lui en inflige un coup sec sur la fesse gauche. La douleur est légère mais sous l’effet de la surprise, il ne peut s’empêcher de sursauter et de gémir. Malgré cet avertissement, il continue de la détailler. Evidemment pas la moindre petite culotte ! Même démesure que pour la poitrine: une sombre toison très fournie, aux longs poils embroussaillés, déjà brillant de mouille recouvre un mont de vénus proéminent, très proéminent, majestueux pour tout dire.
À contrario, de longues jambes gainées de noir l’étonnent par la finesse de leurs chevilles.
Le galbe parfait du mollet contraste avec l’énormité, la disproportion des cuisses dont les monceaux de cellulite éclatent la résille des bas. Ce qu’il aurait trouvé laid chez une autre, dans d’autres circonstances, lui semble, à cette seconde, le comble de l’érotisme. L’ogresse, c’est le mot qui lui vient naturellement à l’esprit pour la qualifier, pour compléter sa tenue, a chaussé des talons aiguilles ! Cette vision dantesque lui procure une trique difficile à décrire, surtout à contenir mais on ne peut plus visible. Ce qui lui vaut un deuxième coup de cravache sur la fesse droite cette fois.
— Je t’ai demandé d’aller ranger mon manteau, aboie-t-elle. Je ne t’ai pas autorisé à me regarder. En plus, si tu gémis comme ça au moindre petit coup, ta soirée va être pénible.
En allant déposer le manteau, il visualise globalement le corps de l’ogresse. Il imagine le cul qu’il n’a pas encore pu voir mais qui, à la mesure du reste, ne peut qu’être énorme. Il va prendre son pied, c’est sûr ! Il y a longtemps qu’une femme ne l’a pas excité autant. Il se sent prêt à jouer à l’esclave pour arriver à ses fins
Elle l’attend au milieu de la pièce bien campée sur ses deux jambes, faisant claquer impatiemment, la cravache sur sa main gauche.
— Comme, je te l’ai dit, ça commence plutôt mal. Tu n’as pas obéi assez rapidement, tu m’as regardé sans ma permission, tu bandes sans autorisation, mon autorisation ! Et de plus tu geins comme une fillette.
— Je suis désolé.
— Je suis désolé, qui ?
— Pardon, Madame. Je suis désolé, Madame.
Par contre va falloir qu’il se retienne d’éclater de rire. Elle fait très série Z. Elle n’est pas prête d’avoir un Oscar.
— Tous ces manquements méritent une punition. Ne crois-tu pas?
— Oui madame. Mais ne soyez pas trop dure avec moi, s’il vous plaît, vous êtes si belle.
Le compliment la flatte et c’est sur un ton moins hargneux qu’elle reprend :
— Bon, nous verrons. D’abord, nous allons te faire débander. As-tu des glaçons?
— - Oui, madame.
— - Remplis-en un bol et dépêche-toi !
Il va chercher des glaçons qu’il met dans un bol comme elle le lui a demandé curieux de l’utilisation qu’elle va en avoir.
— Bien ! Pose ce bol à terre. Mets-toi à quatre pattes et trempe ta queue dedans.
— Mais ça…
— Tais-toi et obéis.
Avec une feinte servilité, il exécute ses ordres. Lorsque son pénis entre en contact avec les glaçons, il retient un sursaut ne tenant pas plus que ça à recevoir un coup de cravache. Après le premier instant de recul, la sensation produite est bizarre mais pas inintéressante. Le froid fait son œuvre et son pénis redevient flasque sans toutefois débander complètement. Constatant le repli stratégique de la bête, elle dit:
— Maintenant passons à la punition. Reste comme tu es. Je vais t’appliquer cinq coups de cravache sur ton joli petit cul tout rond. Chaque mot, chaque gémissement, chaque sursaut t’en vaudront cinq coups de plus. Tu annonceras les coups et tu me remercieras après chacun d’eux. Allez !
Putain, les dialogues… On se croirait dans un vieux porno à trois francs cinquante. En plus elle joue faux ! Heureusement, elle a une poitrine qui fait passer bien des choses. Norbert parvient à garder son sérieux.
— Un..
Elle joue peut-être faux mais elle tape juste: la cravache lui cingle la fesse droite et il doit serrer les dents pour ne pas broncher.
— Alors ! ! Tu n’oublies rien?
— Merci…
— Merci qui?
— Merci Madame… Deux…
Avec précision, elle a visé cette fois la fesse gauche mais il s’y attendait et résiste mieux. Le troisième coup, asséné avec moins de f o r c e mais tout autant de précision, frappe entre ses deux globes et effleure ses bourses. Le quatrième et le cinquième ne sont qu’une répétition du troisième. Elle lui permet ensuite de se relever. Sous la douleur et le froid, sa bite s’est recroquevillée entre ses testicules.
— Baisse les yeux ! Ne me regarde pas ! Tu fais un peu moins le fier maintenant ! Tu vois la petite cordelette sur la table. Prends-la ! Décalotte ta queue et serre cette cordelette autour de ton gland, ça t’évitera de bander.
Obéissant, il noue le lien. Elle va s’asseoir sur le canapé, cuisses largement écartées.
— Maintenant, mon petit esclave, tu vas ôter mes chaussures… avec ta bouche ! Allez !
Il s’agenouille et, s’aidant de ses dents, lui ôte ses escarpins.
Elle accompagne la manœuvre de quelques coups de cravache appliqués doucettement sur sa raie. Quand l’opération accomplie, il relève la tête, elle pèse fermement de la cravache sur son crane jusqu’à ce que sa bouche touchât son pied:
— Lèche-moi les pieds et mets-y du cœur.
Pas possible, elle a pris des cours par correspondance. Avec application, il la lèche. Les pieds, ce n’est pas vraiment son trip: il apprécie la texture de ses bas sous sa langue mais ceci ne l’excite pas outre mesure. Il commence à s’ennuyer. Il préfèrerait s’occuper de sa chattounette gluante ou mieux de sa poitrine hollandaise. Au bout de quelques instants, elle s’aperçoit de la chose. Colérique, plaçant un pied contre son épaule, elle le repousse brutalement. Il se retrouve sur le cul.
— Relève-toi ! Espèce de petit prétentieux, hurle-t-elle, et garde la tête baissée. Prends les pinces avec les poids et fixe-les sur tes tétons, je vais te faire passer le goût de la rébellion.
— Bien madame…
Il obéit, mettant un point d’honneur à ne pas tressaillir malgré’ la douleur causée à chaque pose.
— O.K. … Maintenant tu ne bouges plus…
Elle s’extirpe du canapé. Elle tourne autour de lui, donnant quelques coups de cravache de ci de là. Les coups donnés avec une f o r c e très mesurée se révèlent peu douloureux au creux des reins, sur le ventre, les fesses ou les cuisses mais ils déclenchent une douleur cuisante sur ses bourses ou sur ses tétons pris dans les pinces. À aucun moment, en personne qui ne veut pas abîmer le matériel, la cravache ne touche son membre.
Elle se place ensuite derrière lui et vient frotter ses seins contre son dos et des ses longs doigts aux ongles incarnats elle joue avec ses tétons, tirant délicatement sur les pinces. Norbert apprécie la situation. Il est très sensible des seins et il a toujours aimé qu’on s’occupe virilement de ses tétons. Aussi malgré le fil qui enserre sa queue, celle-ci commence à se redresser. L’ogresse n’attend que ça. Elle plante brutalement ses ongles dans ses seins. Il ne peut s’empêcher de crier de plaisir. Elle interprète mal sa réaction:
— Voilà que tu recommences ! T’es vraiment une gonzesse. Tu cries dès qu’on te touche. Tu ne penses qu’à bander ! Mets-toi à quatre pattes.
Dans cette position, les pinces tirent particulièrement sur ses seins et il se retient pour ne pas grimacer. Elle passe le bout de la cravache entre ses fesses, appuyant fortement au passage sur son anus. Il évite de frétiller du cul. Déjà qu’elle le traite de gonzesse ! Pas la peine de lui montrer tout de suite qu’il adore s’y faire mettre toutes sortes de choses et qu’à l’occasion une bonne queue ne lui fait pas peur. Si manifestement, elle n’est pas très expérimentée dans le domaine de la domination, la garce est connaisseuse en pratique anale.
— T’aimes ça… sale petite pédale… attends…
Elle se saisit d’un god d’un noir d’ambre et d’une dimension raisonnable.
— Puisque tu aimes, tu vas en prendre tout de suite…
Sans aucune préparation, elle applique l’engin contre son anus et, appuyant fortement, elle essaie de le pénétrer. Comme elle n’y parvient pas, elle vient s’accroupir devant lui et présente le god devant sa bouche afin qu’il le suce. Pas d’hésitation, il embouche l’engin et l’humecte largement. Ainsi agenouillée, les énormes seins de Bérengère sont "presque" à sa portée. Les tétons excités ont encore grossi. Il pompe le god de tout son cœur car il imagine que c’est eux qu’il tète. Quand elle estime qu’il est lubrifié à point, elle le pointe à nouveau contre l’œil de bronze.
Si Norbert avait été "puceau du cul", cette lubrification à la salive n’aurait sans doute pas suffi. L’introduction n’aurait pu se faire ou alors seulement dans la douleur. Heureusement pour lui, bien qu’il ne soit pas un adepte de l’enculade à répétition, il a connu quelques hommes et ses pratiques solitaires ont rendu son anus "accueillant". Après deux tentatives infructueuses, la tête du god franchit l’anneau rectal. Sans plus de précaution, elle l’enfonce jusqu’à la garde.
Pour satisfaire l’attente de l’ogresse, il hurle de douleur bien que celle-ci soit insignifiante. Si son cul n’avait pas été déjà souvent dilaté, cette salope aurait pu le déchirer. Il se jure de lui faire payer au prix fort son inconscience. Soit elle est très maladroite, soit elle est aussi novice dans son rôle de maîtresse que lui dans celui d’esclave .Il lui semble qu’elle n’agit pas comme agirait une maîtresse. Il est vrai que son expérience dans le genre est uniquement livresque. Leurs agissements lui donnent des idées. Juste qu’à là, ça le faisait rigoler mais maintenant… Tout à l’heure, il renversera les rôles et on verra bien.
Le god continue ses va-et-vient dans ses entrailles martyrisées. Elle ponctue son pistonnage d’insultes naïves.
— T’es vraiment une femmelette… une vraie fillette… un god de rien du tout, que je n’utiliserai même pas pour mon propre plaisir et toi tu pleures comme une vierge qu’on aurait dépucelée de f o r c e . Quand j’en aurai fini avec toi, tu ne sentiras même plus quand je te l’enfilerai. Ton cul va devenir un hangar pour A340.
La douleur initiale s’estompe, et le va-et-vient lui procure une certaine excitation, excitation qui se manifeste évidemment par un début de bandaison que son b o u r r e a u , fine observatrice, ne manque pas d’apercevoir. Elle retire le god tout aussi brutalement qu’elle l’a enfoncé.
Elle l’enfourche comme s’il était une vulgaire haridelle. Il s’en faut de peu qu’il ne s’écroule sous son poids. Bandant ses muscles, il tient bon. Il ne lui donnera pas la satisfaction de le voir à terre. Il n’a plus très envie de jouer. Sur son dos le sexe humide de la femme fait ventouse. Il comprend que tous ces petits jeux l’ont particulièrement allumée. Un instant, il pense la désarçonner et intervertir immédiatement les rôles mais le jeu redevient plus amusant et il veut savoir jusqu’où elle va aller. Elle empoigne ses cheveux et tire sa tête en arrière. Elle lui promène le god probablement souillé de quelques secrétions sous le nez.
— Tu as dégueulassé cet instrument de plaisir, maintenant tu vas le nettoyer.
Tout en parlant, elle f o r c e sa bouche de la pointe de l’engin. Il ouvre largement sa bouche, engloutit sans peine cet ersatz de bite et se met à le sucer, le lécher avec une fausse dévotion. C’est un peu écœurant mais après tout, il s’était bien "récuré" et cela vient de lui. Il faut, du moins pour un temps, qu’elle croie qu’il aime ça. Bérengère, sur son dos, s’agite de plus belle à la vue de son "esclave" qui suce ce substitut de bite. Elle frotte, frénétiquement, sa vulve trempée contre son dos.
— T’es vraiment un sale P.D…. balbutie-t-elle d’une voix enamourée.
Le ton n’est plus en adéquation avec les mots employés. Ce qui se voudrait insultes n’est plus que mots caresses. Mots qui retrouvent une sincérité, qui sonnent plus juste même si le bruit qu’ils font ne correspond plus au sens qu’elle leur donne.
— Un suce bite… Tu n’es qu’un suce-bite. On va voir si t’es aussi douée avec une chatte qu’avec une queue.
Délaissant sa monture improvisée elle vient se camper face à l’homme, jambes écartées. Cela a sur lui un effet terrible et malgré le lien qui serre sa bite, il se met à bander comme un Turc. Cette touffe noire, laissée en friche, luisante de cyprine ! Ce clitoris rougissant, dressé au fait de ses deux lèvres rebondies, frêle papillon sortant de sa nymphe ! C’est torride ! Bérengère paraît satisfaite cette fois de l’émoi qu’elle a provoqué.
— Tu te rinces l’œil ! Petit salaud ! Je te fais de l’effet… Que je te fasse de l’effet, je le conçois… Tu vas me réjouir mais je ne veux pas que tu te rinces l’œil.
Elle attr a p e un foulard qui faisait partie de l’attirail qu’elle avait renversé sur la table. Elle le lui pose tel un bandeau. Il ne voit plus rien ce qui accentue son trouble, augmente son désir.
— Ne me fais pas attendre ! Viens me lécher !
Il se redresse sur ses genoux et lance ses mains devant lui à l’aveuglette. Vu l’importance de la cible, elles ne peuvent la rater. Elles rencontrent les cuisses de l’ogresse, juste à la lisière du bas et de la chair, pardon des chairs. Elles se cramponnent à des cuisseaux qu’elles ne peuvent s’empêcher de malaxer tant leur mollesse l’inspire.
Il approche sa tête. Ses lèvres atteignent la forêt mal entretenue mais certainement pas vierge de l’ogresse. Il frotte légèrement sa moustache contre les poils pubiens, dans un lent mouvement vertical. Ce langoureux va-et-vient provoque l’effet escompté. La respiration de la femme s’accélère. Elle reste bien campée sur ses jambes. Avançant son bassin, elle presse sa chatte contre ses lèvres. Du bout de la langue, il entame de longs va-et-vient tournoyant entre les grandes lèvres humides. Ses mains abandonnent les cuisses de la belle et osent l’escalade périlleuse de ces fesses d’anthologie.
Norbert est agréablement surpris: si ce cul, en volume, est à l’aune des autres attributs de la dame, il présente une texture soyeuse et une fermeté inattendue. Par contre, il doit se rendre à l’évidence, il n’arrivera pas à rejoindre l’entre fesses et crocheter la serrure de l’issue de secours en passant par l’extérieur: ses bras sont beaucoup trop courts. De ses avant-bras, il tente de f o r c e r le passage entre les cuisses mais autre problème, l’ogresse a beau avoir les cuisses ouvertes, ses jambonneaux empêchent toute pénétration.
Il abandonne ces idées de conquête. Il place ses mains de chaque côté du sexe alors que sa langue pointue pénètre la vulve. Il tire les grandes lèvres vers l’extérieur, les plaquant contre les cuisses, permettant à sa langue de s’enfoncer profondément dans le vagin de l’ogresse. Quand elle est bien installée, il presse les mêmes lèvres, l’une contre l’autre l’emprisonnant ainsi entre les parois. Il recommence plusieurs fois tentant de la pénétrer toujours plus loin. Cette femme qu’il ne voit même pas, tour immobile, inonde sa bouche de sa cyprine à jets continus, preuve s’il en est besoin de son extrême excitation.
Brusquement, elle le repousse. Sauf qu’il a oublié à quel jeu, ils jouent. Il s’agrippe à ses grosses fesses, plante ses ongles dans leur chair ferme et replonge la tête entre les cuisses si divinement grasses. Elle veut encore une fois le refouler mais il tient bon. Au court de la brève réunion qu’il vient d’avoir avec lui-même, il a été décidé que désormais on joue avec ses règles. Elle n’est pas de cet avis et ne semble pas décidée à se laisser faire. Elle continue de se débattre, cherchant à le bousculer pour qu’il tombe. Cette résistance aggrave son/leur excitation.
Norbert s’accroche à Bérengère. De sa langue, il la baise toujours. Mieux les mouvements désordonnés de l’ogresse lui permettent de, enfin, glisser une main entre ses cuisses. Celle-ci disparaît dans le gouffre insondable de sa raie culière et f o r ç a nt une résistance, somme toute symbolique, atteint son but. Ses deux index accolés f o r c e nt sans grande difficulté l’entrée de service. L’anus tout réjoui se contracte férocement autour de ses doigts qui le liment. La vulve inonde son visage de cyprine. Finie l’immobilité ! Une forte houle agite un bas-ventre qu’il doit contenir d’une seule main. Elle laisse échapper une succession de gémissements enamourés. Pourtant, elle tente encore de le repousser.
Finalement, il lâche prise et tombe sur le dos. Non pas parce qu’elle est plus forte que lui, mais parce qu’il doit, sous peine de péter un câble, absolument se débarrasser du lien qu’il a autour de la bite. Il bande comme un fou et le lien, cisaillant la chair, génère une souffrance insoutenable. Il se laisse rouler sur le côté, arrache son bandeau et tente d’ôter le lien. Macache Bono ma sœur ! Impossible ! Et l’autre, déçue d’être abandonnée qui ramène sa science.
— Espèce de petit con ! Qu’est-ce qui t’as pris ! Tu dois m’obéir ! A genoux et viens me sucer ! Vite ! Vite !
— Bon Bérengère ! Nous avons bien joué ! dit-il en se redressant de toute sa taille. Mais maintenant, ça suffit ! TU M’ENLEVES CE LIEN IMMEDIATEMENT ! OU JE TE JETTE DEHORS A POIL !
La jeune femme pâlit. L’homme voit dans son regard, un château de sable s’écrouler. Une grosse vague arrive et elle éclate en s a n g lot. Elle s’empresse de couper le lien en utilisant un petit ciseau à ongles. Ensuite à genoux devant cette bite qui n’a, malgré la douleur, pas débandé:
— Je te demande pardon. Je suis vraiment désolée. Je ne voulais pas te faire de mal ! Je voulais qu’on ait du plaisir ! je croyais que ça te plaisait
L'apprentie maîtresse
Tout en psalmodiant cette litanie, elle couvre la partie suppliciée de petits baisers mouillés, de coups de langues attendris. Plutôt que de se tordre les mains de repentir, elle leur a confié à chacune une boule qu’elles malaxent pour se calmer. Sous ces caresses buccales et manuelles, l’homme sent fondre sa rancœur et durcir sa bite. Cette femme tout à l’heure voulait le dominer, maintenant, elle est à ses pieds, à sa merci. Elle lui paraît si vulnérable, si fragile que les projets de vengeance qu’il avait envisagés tout à l’heure ne lui seyent plus.
Il a envie de la prendre dans ses bras, de la consoler de ce gros chagrin, de se perdre dans ses chairs confortables, d’enfoncer sa queue entre ses fesses de reine, de perdre sa tête entre ses seins, de la lécher, de la boire, de l’entendre crier son plaisir et, à la fin, de se déverser en elle.
En clair, bêtement, il la désire à en avoir mal à la queue et aux couilles, pas seulement à cause du lien.
Alors que voulez-vous qu’il fasse, il prend ses mains dans les siennes, la relève l’emmène dans sa chambre, l’allonge sur sa couette et …
Ils font l’amour jusqu’à ce que tous leurs désirs soient rassasiés. Au petit matin, alors que nul ne sait qui du loup ou de la chèvre a gagné, ils s’endorment, paisibles, détendus, dans les bras l’un de l’autre, mais cette partie de l’histoire ne présente guère d’intérêt…
Domi Dupon
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Super histoire merci |
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